Re: [PR écrit, Privé Shywik] Le rapport entre les bateaux, le miel et un sous-sol suspect.

**Shywik** Dim 19 Juin - 15:49

Parfois, je me demande ce qu'il adviendrait si je n'était pas comme je suis. Il est vrai que je peut être froid, cynique, calculateur, mais je n'en suis pas moins loyal et vigilant.
Ce fut d’ailleurs cette vigilance qui sauva la soirée.
Alors que, quelques verres plutôt, Marianne virevolter telle un papillon, et ce lucide, elle était maintenant presque ivre et avait du mal a tenir sur ses pattes. Mieux ! Elle m’appelait constamment, pour me retrouver. Alors que je me dirigeais vers elle, fendant tranquillement la foule, un cri s'éleva :

"Shywik ! Le parrain des Bandits manchots ! C'est mon Amant, et il va vous en coller Une !"

L'adrénaline monta, et je fus sur place en moins de temps qu'il ne faut pour le dire. Devant moi, un iop ~~Shini Perceval~~ tenter d'embrasser les lèvres sur les quelles j'avais tant de fois poser les miennes. Tandis que ma douce se débattait, je sortit de mon dos ma longue épée, qui a des allures d'aiguille, et la pose au sol. Puis, je pose ma main libre sur l'épaule du Iop et l'interpelle :

" Hé toi ! Tu veux que je t'aide ? "

La vue de l'épée le pétrifia. Il était ivre, mais il y eu un éclair de lucidité quand il bafoua quelques minables excuses. Il esquissa un sourire hypocrite qui fut écrasé violemment par ma botte.
Sur quoi, je pris Marianne dans les bras et gravit les escaliers.

Marianne Rogue Lun 20 Juin - 20:34

♫♪♫♪

**Dans tes bras, tout est possibles**

Et la voilà, postée comme une princesse, attrapant son aimé par la nuque, pendue à ses lèvres dans tous les sens du terme. Rire innocemment. Droguée ? Pensez-vous. Elle rêvait. Elle avait l'impression ...

**De passer le perron en robe de mariée**

Ce n'était pas tout à fait faux. Elle était en blanc, ses cheveux détachés couvraient son crâne comme un voile trop long, sa robe éhanchée sur les deux côté était suffisamment longue pour qu'on croit à une robe de fête, ses bras blancs était comme gantés. Son sourire niais et sa façon de taquiner les lèvres de son chéri faisait penser à une petite fille qui réalise son rêve d'enfant. Petite princesse d'un jour. Avec le prince charment qui va avec. Tout était parfait, excepté cette envie insatiable de le toucher, de le sentir contre lui, toujours. D'avoir la preuve qu'elle le tenait entre ses doigts blancs.

"Shywik, mon amour, tu sais que je t'adore. Tu es le meilleurs. Tu chasses tout ce qui peut me faire mal. Les Iops, les soucis, les pensées compliquées, tout. C'est simple, tu fais de ma vie un paradis. Oh oui, dis, tout sera toujours comme ça ? Tu seras toujours avec moi hein ?"

En approche de l'étage. En approche d'une porte. Un tour de clé, la porte est ouverte. Chambre silencieuse malgré le boucan du dessous. La clochette rouge raisonne.

Gling, Cling, réveille-toi Cendrillon, la fête est finie, le carrosse va partir sans toi.

**Non, je veux rester. continuer à m'amuser.**

Et le prince charmant verra ce que tu es vraiment.

**Non. Non, il ne faut pas qu'il voit. Non.

Mais s'il doit voir pour que je reste, qu'il regarde. Et je le verrais moi aussi, je verrai tout de lui, j'assumerai de faire partie de son univers. Je veux faire partie de sa vie comme il fait partie de son univers.**

[pas obliger d'écouter tout, mais vers le milieu et dans les refrains, j'adore l'effet que ça fait !]

Une lumière qui s'allume.

"Mh, non mon cœur. Éteint la lumière. ça fait mal à la tête."

**Emmène-moi dans l'ombre. Là où rien n'éclaire. Là où tous les méfaits sont permis. Là ou t'aimer m'est permis.**

**Shywik** Mer 22 Juin - 6:57

// je fignolerai peut être ce soir ^^ //

Un papillon blanc, les ailes écartées sur une toile pourpre, à l’abri de la lumière, du bruits, des ivrognes et du monde.
A coté" de ce papillon, un homme qui en a déjà trop vus, et qui ne souhaite qu'une chose : exister.
Ce grand bonhomme avait déjà eu ce qu'il voulait dans la soirée. Enfin, il exister. Même si ce n'était que pour le papillon qui fut épinglé à la draperie par une forte consommation d'alcool.
Et pour continuer d'exister, il ferait tout.
Voilà comment la scène aurait pu être décrite lorsque je couchai Marianne sur le lit et que, dans la pénombre, je rester a coté d'elle, lui tenant la main comme a un gosse qui a peur du noir...

Marianne Rogue Ven 24 Juin - 10:33

♫
(Pas que j'aime tant que ça la chanson, mais c'est à croire qu'il rêve aussi d'être Xélor xD)

**

Toi qui rêve d'exister, tiens-moi la main. Car ce simple geste qui ne me fait plus redouter l'obscurité me prouve que tu es là.

**

Marianne sert fort, peut-être trop, la main bandée du Xélor. Le simple fait de savoir être là n'était pas donné à tout le monde. Marianne elle même doutait de pouvoir être là quand on avait besoin d'elle. Être à la tête d'une guilde entière ne changeait pas ce fait. Mais ce soir elle n'était pas Marianne Rogue des Blue Di Isabelle. Elle était une femme bourrée qui voulait passer un bon moment avec son amant. Et l’ivresse de Marianne était toujours la même : vite envolée, les pensées, mais jamais oublié.

Malgré qu'elle ne se contrôle plus, elle se souvenait toujours e ce qu'elle avait fait le lendemain. Et c'était pour cette raison que boire ne la répugnait pas. Cela ne lui faisait pas de mal. ne lui donnait pas de mauvaises surprises.

Comme si le moelleux du lit ne suffisait pas, l'enfant qui craint le noir se blottie contre le bandit pour fourrer sa tête dans sa nuque. Une halène sucrée, presque acidulée s’échappait encore de ses lèvres trop rouges. D'instinct, elle glissa au dessus de lui et logea son bassin entre ses jambes, ses bras longeant les siens, caressant son coup avec ses joues rosies et des dizaines de petits baisers déposés furtivement.

** J'en ai envie. Il n'y a pas de raison de me retenir. J'ai envie d'être avec lui. Je veux le toucher, je veux m'assurer qu'il existe bel et bien, et surtout qu'il existe pour moi.**

Fièvre. Elle se relève sur ses coude pour lui faire face, sourit aussi tendrement que le peut le visage d'un être soul, amène une main sur sa poitrine et attrape un cordonnet sur lequel elle tire violemment. Le haut de son corset s'ouvre sur sa gorge blanche pendant qu'elle passe les mains sur les côtes du Xélor pour défaire les boucles des lanières retenant son armure. Elle s'approche, dans une infinie douceur, l'embrasse. Un murmure :

"Tu serais heureux si je te le disais ?"

Posée sur lui, papillon. Plus lourde, plus étouffante, plus entreprenante, mais papillon tout de même. car il suffit d'un geste pour la réduire à néant ou la laisser s'envoler.

"Dis-le moi encore, toi. Tu sais si bien le dire, ça me rend tellement heureuse à chaque fois ... Si tu savais ..."

**

Je te le demande : dis-moi encore que tu m'aimes. Car toi tu semble savoir ce qu'il y a en toi. Moi je ne le sais pas, et je ne veux pas mentir. Je ne veux pas te mentir à toi surtout. Mais un jour, j'en suis certaine, je saurai te le dire. Peut-être que tout à l'heure je saurai. Je te soufflerais que je t'aime à la folie, que je ne veux que de toi, que tu peux tout pour moi et que je ferrais n'importe quoi pour t'avoir à mes côtés, pour t'avoir heureux grâce à moi, que je pourrais tout détruire pour toi, pour ton corps, tes pensées inaccessibles, tes yeux glacés et cachés que moi seule connais. Un jour je te le dirai, je te le dirai je le promets. Mais pas maintenant, pas encore.

Pour l'instant, j'aime t'entendre me le dire, toi qui sait si bien ce qu'est l'amour.

**

**Shywik** Ven 24 Juin - 18:59

Guidé par sa douce main, bercé par ses subtiles paroles, ma main se retrouva plaquée contre le sublime poitrail du pale papillon. // vive les adjectifs ! //
Tel un Requiem enveloppe un mort, sa voix m’entoura, douce mélopée réclamant un seul murmure :

" Oui, je t'aime. A en mourir. "

Marianne Rogue Ven 24 Juin - 22:45

Passer une lame froide entre ses entrailles n'aurait pas eu plus d'effet que ce simple murmure. Par Crâ, il pouvait mentir, la piéger, la manipuler, au moment présent elle n'en avait plus rien à faire. L'ivresse n'aidant pas, le trouble provoqué par ces petits mots de rien, ces syllabes usées, trop courtes et tellement insignifiante la transcendait entièrement à chaque fois, lui arrachant quelques larmes.

**À en mourir. C'est moi qui me sent mourir à cause de toi, idiot.**

Le contacte de ses mains lui causèrent un frisson dans l'échine, puis comme toujours lorsqu'elle avait bu, lorsqu'elle se sentait en sécurité, parfois à tord, comme toujours lorsqu'elle se sentait vivante mais pas épuisée, elle lassa libre cours à ses pulsions. Son corps prenait le dessus, son esprit une pause. Son esprit qui tournoyait infiniment, noyé dans les mots, le sons entendus et gravé en elle. Ses doigts réussirent enfin à défaire les boucles du plastron métallique, ses mains partant en exploration sur ce corps qu'elle connaissait déjà mais redécouvrait à chaque fois.

**C'est bon.**

Tellement bon.

Des larmes perlent, preuve qu'elle avait d'ors et déjà perdu le contrôle d'elle même, que plus rien ne l'arrêterais. Ses vrais désirs refont enfin surfaces, ses angoisses et ses souffrances de solitude passées s’échappent, perle par perle. Elle descendit se mains dans son dos pour trouver les autres entraves à leur union secrète et les défaire. Un sourire, un nouveau murmure, chuchoté dans un baisers rapide avant de commencer à déblayer le passage :

"Merci."

Code:: [hide]XXX[/hide]

**Shywik** Dim 26 Juin - 14:48

Une fois de plus, je l'embrassai. Mais cette fois ci, un gout salé se mêla à celui de ses lèvres.
Pendant quelle cherchait a se défaire de l'étreinte de son corsage, ma main balayé tendrement l’intérieur de sa cuisse.
Nos langues dansaient une folle ribambelle comme pour s'attraper éternellement.
Le spectre de l'amour planait sur nous ?

Marianne Rogue Dim 26 Juin - 16:53

[Ce code permet à ne permettre qu'aux seuls initiés (ceux qui ont postés) de lire le contenu. je t'ai donné le code dans le poste précédant.]

Et mes lèvres s’accrochent à tes phalanges
Je t'aime trop fort, ça te dérange,
Et mes lèvres se brisent sur tes phalanges,
Je t'aime trop fort
Mon Ange
Mon Ange

**Shywik** Lun 27 Juin - 20:57

Une ardeur sensuelle et languissante transcender depuis l'union de nos de bassins.
Nous dansions une valse sensorielle, un ballet à l'érotisme, un boléro à l'impudeur .
Et c'est Marianne qui en donnait le rythme.

Le plus beau de tout les papillons, épinglé par l'aiguille d'un xélor qui sent la nicotiwe... Étrange... Et e même papillon qui butine mon cœur... De mieux en mieux !

Marianne Rogue Mar 28 Juin - 9:51

Se laisser guider par un instinct, le tout premier qui nous anime.

"La caresse est le produit d'un long polissage de la bestialité."
-
Pierre Reverdy

"Veux ... Te voir ..."

Je veux voir ton visage heureux comme je le suis. Tu veux bien me laisser le voir ? Ainsi peut-être tu me paraîtras moins lointain, à moi petite poupée devant un Dieu, Marionnette dans les mains d'un illusionniste, Crâ troublée sur le parfait Contrôleur du Cours du Temps.

**Shywik** Mer 29 Juin - 16:03

Un silence pesant. Une respiration haletante mais silencieuse. Une ouïe inutile, car c'est avec le corps qu'il fallait entendre. Une symphonie des sens, un délice olfactif, un adagio charnel, un régal corporel.
Comment décrire l'extase ? En ne la décrivant pas.
Cette nuit, j'ai damnée mon âme, je l'ai vendu au plus doux des démons, à la plus blanches de succube... Et je recommencerais !

Marianne Rogue Jeu 30 Juin - 18:12

Jeune mariée assoupie dans les bras de son amant. Presque trop beau.

Cela avait été quelques heures de répit contre l’existence, noyée dans l'ivresse du verre et des émotions. Mais surtout, cela avait été bon. Si bon. Si bon de ressentir le plaisir à deux, si bon de savoir qu'ils étaient deux. Satisfaction ? Contentement ? pas seulement. Tellement peu. Se sentir épanouie est très rare dans la vie d'une femme, surtout lorsqu’elle a décidé de vivre la vie que mène Marianne. Mais elle était heureuse de ses choix. Et même si ce n'était pas vraiment un choix, mais un désir instinctif, celui qu'elle avait fait en se mettant dans les bras du Xélor voleur était sans nul doute le meilleurs qu'elle ait fait : pas le plus sûr, certes, mais pour l'instant celui qui lui rapportait le plus de bénéfice personnel. Dans le sens où elle se sentait confortablement installée avec lui. Rien que cette idée, "s'installer", était quelque chose d'assez effrayant en soit, puisqu'on ne parlait pas de l’implantation d'une succursale, mais de sa dépendant ce lui. Shywik avait réussit ce que personne n'avait réussit avant et ce que personne ne réussira plus jamais, mettre en confiance la tigresse miniature qui griffait sans faire mal.

Corps nu blanc ronronnant après un plaisir fou. Le désir calmé, le calme revient à nous. Glisser à tes côtés, me blottir contre toi, m’enfermer dans tes bras,
Naturellement.

Occupée à écouter les battements de son cœur, Marianne somnolait presque. Même en dessoulant, se sentir aimée après l'amour était assez propice à l'apaisement. Du bout du doigt elle joue avec quelques cheveux blancs, trop longs, qui traient, qui pour une fois ne sont pas les siens. Le papillon blanc était trop pris dans sa somnolence pour calculer le rythme cardiaque de son partenaire, aussi n'avait-elle aucune idée de s'il était oui ou non endormi lorsqu'elle lâcha dans un souffle, les yeux fermé, la voix à demi-éteinte :

"Je t'aime aussi Shywik. Mais si je me l'avouais, je me tuerais. Bien trop peur que tout foute le camps parce que je ne fais pas assez attention. Hors de question que je me repose sur toi."

Sa bouche et sa voix enrouée n'était plus que le traducteur d'une pensée qui s'évade une fois sa conscience endormie. Pensée d'une préposée suicidaire qui ne vit que pour les couleurs et les papillons qui s'envolent. Pensée d'une femme allumée parce qu'ennuyée par la vie. Pensée d'une femme sérieuse à défaut d'avoir envie de crier. Pensée d'une femme criarde parce qu'elle a peur du silence. Pensée d'une vivante parce qu'elle ne fait qu'attendre de mourir.

"Je t'aime à en vivre, Shywik."

C'était fou. Complètement fou. Depuis quand n'attendait-elle plus la mort ?

**Je l'ai dit ... Deux fois ... Par Crâ, pourvu qu'il dorme. Pourvu qu'il dorme ...**

La nuit l'emporte dans les bras de Morphée, bercée par les battements de cœur, embrasée par la chaleur ... Transportée dans l’euphorie.

**Shywik** Dim 17 Juil - 13:16

Ce quelle dit me transperça de toute part. Cette déclaration, ce n'était pas seulement la chose la plus douce que l'on m’aie jamais adressé, c'était aussi une reconnaissance de mon être, un visa pour l’existence, un gage de présence dans le monde que je jugeais trop morne pour y accorder de l'importance !

Enfin j’existe pour quelqu'un

Cette délicieuse tirade prononcée, son angélique auteur sombra dans le sommeil, se nichant dans mes bras...
Comme un clou, cette présence fixa au lit, m’empêchant de m'évader et même de compter les heures ....
De ce fait, quand l' assassine aube poignarda notre sensuelle nuit, je suis le premier étonner à voir se levé l'astre incandescent si tôt.
Dans un soupire, j'attendis le fatidique moment où ce nirvana prendrait fin, et que mon aimée se réveillerai.

Marianne Rogue Mar 19 Juil - 11:51

Je suis le papillon épinglé sur une fleur qui aurait du faner. Mais je continue de battre des ailes, pour cacher la fleur dont moi seule connait la beauté, je continue de m'y accrocher pour me plonger tête la première dans le pollen, je fais semblant d'être libre alors que je ne le suis pas. Je suis attaché pour toujours à la fleur, et cette fleur n'a rien à faire pour me retenir. Si je t'ente e m'envoler, de me désoler d'elle, j'y laisse mon corps entier et je meurt. Quel drôle de rêve. Ce rêve est vrai. Ce rêve indique ce que je suis. je suis le papillon épinglé sur la fleur qui a mille ans tandis que je ne vis que depuis trois jours. Je suis une menteuse qui fait comme si elle était libre pour ne la garder que pour moi. Que personne ne regarde jamais cette fleur qui en a vu plus que moi. Je suis le papillon qui a des ailes mais qui ne s'envolera pas.

Doucement le jour se lève.

Je n'ai aucune idée de l'heure qu'il est quand j'ouvre enfin les yeux. La seule chose que je sais, c'est que je suis nue dans les draps blancs d'un lit d'hôtel, l'oreille posée sur la poitrine d'un homme qui me tiens l'épaule. Mon visage est réchauffé par la lumière du jour qui traverse la fenêtre, ma vision troublée par le sommeil et par la fumée d'une cigawette.

Je suis dans ses bras, c'est tout ce que je sais. ce que j'ai pu dire ou faire la nuit dernière, je l'ignore. Je sais qu'on s'est aimé, je sais que je l'aime. Je me souviens de ses mots mais pas des miens. Je me souviens du désir de lui dire à quel point j'en suis folle, du désir qu'il soit endormi alors que je parlais sans savoir. Que lui ai-je dis ? A-t-il entendu ?

Ce n'est pas grave, rien n'est grave. Je suis vivante et heureuse. Je crois que je souris, un peu. Oui je crois.

"Quelle heure est-il ?"

**Shywik** Lun 1 Aoû - 11:49

Une voix merveilleuse et endormis me tira de ma torpeur.

"Quelle heure est-il ? "

Chose étrange pour un xélor, je ne savais pas quelle heure il étais... Cela faisait longtemps que je ne me soucié plus de l'éternelle valse des secondes... Tant que je passais les miennes avec Marianne...

"Je ne sais pas ... Veux tu quelque chose ? Un thé, un café ? "

Sur quoi, je me téléportais dans la pièce, abandonnant le lit et trainant derrière moi un panache de bandellettes imprégnées de volupté...
Moi qui croyais avoir perdu mon âme il y a longtemps, je me rends compte que c'est cette nuit que je l'ai damnée... Et qu'importe, je la damnerai encore

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[PR écrit, Privé Shywik] Le rapport entre les bateaux, le miel et un sous-sol suspect.